Depuis plus de dix ans, Fils-d’Areskwe règne en maître sur la forêt des Têtes-Coupées. Le tribut qu’il exige est énorme. Les vils oki de la forêt maudite sont affamés et les habitants du village qu’habite Yawendara sont terrorisés. Jour après jour, les gens se demandent qui sera la prochaine victime. Lorsque Grand-Mère tombe malade à son tour, Yawendara sollicite l’aide du Grand Conseil des Animaux. Pressée par le temps, elle doit tenter l’impossible pour guérir Grand-Mère. La jeune fille ira-t-elle jusqu’à tenir tête à Fils-d’Areskwe ? [Éd.]

La langue de Nour est tordue, têtue, perdue. Ou plutôt todue, têtue, pèdue, comme le dirait la fillette. Sa langue ne l’écoute pas. Et quand personne ne nous comprend, quand même notre sœur se moque de nous à l’école, il devient plus facile de s’isoler. Avec l’aide de son orthophoniste et de beaucoup de travail, Nour arrivera à améliorer sa prononciation et prendre plus facilement la parole au quotidien. Qui sait, peut-être que sa sœur apprendra aussi à voir ses efforts plutôt que ses difficultés ? [Éd.]

L’hiver nous apporte bancs de neige, glaçons, rafales et tempêtes. Mais il ne faut pas oublier ses plaisirs polaires : flocons doux, patins, raquettes et rêverie ! Abécédaire d’hiver est un album abécédaire, comme son titre le rappelle si bien, et fera parcourir à l’enfant la saison hivernale. Il sera bien au chaud entre le rire et la poésie, pour apprendre, se divertir et rêver. [Éd.]

Moïse, qui ne désire qu’être comme les autres, se questionne sur sa façon de parler, et bégayer le dérange de plus en plus. Avec l’aide de son orthophoniste et de sa famille, Moïse apprendra à parler de manière plus fluide et à prendre davantage la parole au quotidien. Surtout, Moïse et ses parents comprendront que l’essentiel est qu’il dise ce qu’il veut quand il veut. [Éd.]

Il était une fois un petit garçon qui n’avait pas de jambes…

QUOI ? Elle est terrible, ton histoire !

Elles sont passées où, ses jambes ?

Le loup les a mangées ?

Ça lui fait mal ?

Est-ce qu’il a une bicyclette ? [Éd.]

« J’aime pas lire, mais j’aime les livres. Ma tête ressemble à une tirelire de mots libres. Pourquoi les livres sont pour moi des prisons ? Pourquoi les mots ne sont pas plutôt de beaux tisons ? Pourquoi les bibliothèques m’inquiètent ? Je m’entends le dedans, une impression d’accident… Ma tête devient un casse-noisette. Ma tête, un casse-tête… » Vital a bien du mal à accepter sa dyslexie. C’est Siri et son amie, la Dame de la Montagne, qui l’aideront à surpasser cet obstacle. [Éd.]

« À midi, le père Noël se précipite dans l’atelier. — Je suis désolé, mais cette fois, mon ami, tu dois y aller. — Dans une maison ? ose prononcer Alexandrin. — Oui. La varicelle a contaminé mes lutins coquins. Range ton calepin. — Moi ? Faire le cabotin ? Alexandrin est un lutin poète, pas un lutin taquin. Jouer des tours lui fait peur, ce sont les mots qu’il a à cœur. Pourra-t-il réussir sa mission sans perdre la raison ? » [Éd.]

Mélodie adore la musique et les chansons. Elle voudrait tant chanter comme les enfants de son âge, mais seul un souffle vide sort de sa bouche. Atteinte de déficience motrice cérébrale, Mélodie cherche sa voix. Une voix qui lui permettra de communiquer et même de chanter. La deuxième voix de Mélodie est une exploration de la différence, des troubles du langage et de la parole et du développement de la confiance en soi, qui touchera autant les enfants confrontés à ces défis que ceux qui les accompagnent au quotidien. [Éd.]

Henri n’est pas né avec des écailles sous les pieds ou des nageoires au milieu du dos. Pourtant, quand la rentrée scolaire arrive, il remarque le regard de ses copains posé sur lui. Ses appareils auditifs les intriguent. Il aimerait trouver des mots bien à lui pour leur expliquer pourquoi ses oreilles ne peuvent pas entendre le bruit des vagues ou le cri des goélands. Il est malentendant et c’est parfois difficile à faire comprendre. Heureusement qu’il se sent écouté par sa nouvelle amie Charlotte et qu’il possède plus d’un trésor dans sa collection de coquillages pour y parvenir ! [Éd.]

Je suis Jonathan, le fils aîné de l’éminent astrophysicien Julien Ferenczi. Je suis fier de mon père. Quand des questions me torturent la tête, je n’ai qu’à descendre dans son laboratoire, au sous-sol. Papa a toujours du temps pour me répondre. Enfin, il avait toujours du temps… Depuis que papa nous a quittés brusquement, ce n’est plus pareil à la maison. Maman pleure souvent. Jonas, mon frère, fait un vacarme épouvantable. Il ne veut pas penser à papa, à sa mort. Et Jog, mon chien, est triste. Il ne comprend pas où est passé son maître. D’ailleurs, personne ne comprend. Sauf moi, peut-être… [Éd.]