Réédition. La petite Kristi convainc son papa de l’emmener à la pêche, promettant de ne pas bouger et de porter son gilet de sauvetage. Or, le vent se lève et d’énormes vagues font tanguer l’embarcation, si bien que la fillette a bientôt le mal de mer et tombe dans les flots en se penchant pour vomir par-dessus bord. Son papa est ébloui lorsqu’il réalise, en la remontant dans l’embarcation, qu’elle tient par la queue une morue de deux mètres de long! Ni une, ni deux, l’homme propose à sa fille, enchantée, de la relancer à la mer afin de mettre à profit son don hors du commun pour la pêche… [SDM]

Réédition. Suivant le rythme des saisons, le point de vue duquel on les observe ou encore la force de l’imagination, les arbres se transforment et peuvent revêtir une foule de significations. « Dessin géant » qui se découpe sur la « toile du ciel » (p. [5]), tourbillon de couleurs automnales, tunnel végétal surplombant une rue d’un quartier résidentiel, océan de verdure que l’on observe depuis son balcon, refuge pour les oiseaux ou les écureuils, bateau de pirates, lieu de rendez-vous, confident, reflet du cycle de la vie humaine… Les arbres sont tant de choses! [SDM]

Réédition. Nicolas, alias Fred Poulet, a attrapé un vilain rhume. Or, ce détective en herbe n’a rien perdu de son esprit de déduction et entend bien mettre la main sur le responsable de cette attaque bactériologique! [SDM]

Florilège de trois aventures de Marilou Polaire, une fillette à la tête remplie de rêves, de fantaisies imaginatives et d’entourloupettes malicieuses grâce auxquelles elle réussit à tirer profit de toute situation. Et si ses espiègles manigances sont loin de toujours faire le bonheur de ses proches, elles sont facilement pardonnées en raison de son coeur en or et de la bonne humeur qu’elle sème sur son chemin! Dans le premier récit, Marilou Polaire a trouvé la mallette d’une astrologue. Très heureuse d’avoir récupéré son bien, Stella L’Heureux-Azar lui trace sa carte du ciel. Impressionnée, Marilou décide non seulement de faire la carte de ses amis, mais encore de leur prédire l’avenir, de façon un peu boiteuse… Dans le suivant, Camelot, le dromadaire nouvellement arrivé au zoo, doit passer 24 heures dans la cour de Marilou, le temps que son père lui construise un enclos à l’abri des éclaboussures des ours polaires, décidés à rendre l’arrivée difficile au jeune camélidé. Finalement, dans le dernier volet: depuis que la maîtresse leur a lu ##La princesse au petit pois##, Marilou se demande si ce que l’on dit dans les contes est vrai. Bien décidée à le vérifier, elle place un petit pois sous son matelas, sur lequel elle ajoute oreillers, manteaux, coussins, couvertures et matelas gonflables. Elle s’envole alors pour le pays des rêves, où ses fidèles copines Jojo et Zaza sont les cuisinières d’un roi et d’une reine qui sont à la recherche d’une vraie princesse pour leur fils: Ti-Tom le terrible. Mais voilà, le pois en bois a disparu et le roi exige que Marilou le retrouve… [SDM]

Ce titre s’inscrit dans une collection de plaquettes brochées s’adressant aux enfants du premier cycle du primaire en apprentissage de la lecture. Chaque récit (moins de 160 mots) est tissé de phrases courtes favorisant tout particulièrement l’apprentissage de six mots courants. Rédigés en caractères gras et en couleur au sein du texte, ces derniers reviennent à quelques reprises et sont présentés en début d’ouvrage dans un lexique illustré (une nouveauté dans cette nouvelle édition enrichie). On propose ici une adaptation très simplifiée et teintée d’espièglerie de la célèbre fable où la persévérance et la persévérance de Tortue l’emportent sur la nonchalance de Lièvre, trop sûr de lui, dans une course à laquelle assistent avec intérêt les animaux de la forêt. [SDM]

Réédition. Album souple où l’on raconte comment une petite princesse viking déterminée demande à ses parents de lui offrir un cheval de guerre pour son anniversaire. Or, ne lui offrant habituellement que des chandails confortables ou autres présents douillets, ils se trompent en lui procurant un petit poney bien dodu, aucunement combatif et très gourmand. La blondinette tente toutefois, mais sans succès, d’entraîner sa monture en vue d’un grand combat. Durant la terrible bataille, d’où retentirent trompettes et d’où fusent balles molles et boulettes de papier ou de poils, Prunelle reste à l’écart jusqu’à ce qu’un barbare fonce droit sur elle… et tombe sous le charme de son petit poney qui a tôt fait d’amadouer toute cette bande d’affreux guerriers. [SDM]

Réédition. Rosalie se sent constamment tiraillée entre ses parents, qui sont comme chien et chat depuis leur séparation. Les reproches fusent des deux côtés, et ce, au grand dam de la fillette, qui sait pour sa part apprécier les qualités qu’ils ne savent plus se reconnaître l’un l’autre. Se sentant comme une minuscule souris prise au piège, Rosalie espère que ses parents arriveront un jour à venir la voir jouer au hockey sans montrer les griffes et qu’ils arrêteront de se hérisser lorsqu’elle reproduit les petites manies de l’un ou de l’autre. Heureusement, elle sait désamorcer les situations de crise et leur ramener le sourire en leur fredonnant une chanson qu’ils aiment tous les deux et qui les réunit sans qu’ils le sachent. Ce que la fillette se garde bien de leur dire! [SDM]

Cet ouvrage regroupe deux titres d’une série indémodable qui a connu un grand succès dans le monde entier depuis sa première parution dans les années 1980. Dans le premier, un bestiaire amoureux et mutin batifole en chantant, en se déguisant, en peignant l’élue de son coeur, en se chatouillant ou en s’embrassant sous un croissant de lune. Le second volet croque quant à lui les petits plaisirs tendres et coquins rythmant les journées d’Harold le chat et de Rose la souris, entre bain de mousse, câlins, bons repas, lecture d’une histoire avant de s’endormir… [SDM]

Max est désolé de devoir passer le jour de son anniversaire chez son grand-père, que sa famille visite tous les samedis. Pour l’occasion, le vieil homme lui offre toutefois une photo de lui portant la Croix Victoria, une distinction qu’il a reçue lors de la Seconde Guerre mondiale pour avoir risqué sa vie lors d’une mission pour les services de renseignements britanniques et français. Max et son frère Tim sont touchés par la tristesse de leur aïeul face à la perte de ladite médaille. Lorsqu’il entre à l’hôpital afin de soigner une grave dépression, les deux garçons décident d’explorer l’ancienne demeure de leur grand-père, qui est aujourd’hui laissée à l’abandon. Mais un sans-abri et des bandits se livrant à l’élevage illégal de chats et de chiens les y attendent. [SDM]

Album cartonné aux coins arrondis dans lequel Bébé Louise n’arrête pas de pleurer. Sa mère, son père, sa grand-mère et son grand-père lui chantent une douce chanson, la bercent tendrement, lui donnent un biberon tiède et lui jouent une mélodie joyeuse à l’harmonica, mais rien n’y fait, la petite hurle à en faire trembler les murs de la maison. Même les conseils des voisins n’y font rien. Quand son frère Daniel revient de l’école, il lui dit simplement « Ounga bounga », ce qui fait sourire le poupon. Dès que ce dernier sort de nouveau cependant, Louise se remet à pleurer de plus belle et aucun « Ounga bounga » ne semble lui remonter le moral. Il semblerait bien que le remède à ses crises soit non pas une formule magique, mais bien la présence bienveillante de son grand frère. [SDM]