Julien a pensé à son affaire : il se fabriquera un super costume de robot pour l’Halloween. Ce sera génial ! Mais, le jour venu, surprise !, sa mère lui a fait un costume de papillon ! Comment ne pas la décevoir sans être la risée de toute l’école ?

Vingt-cinq très courtes adaptations d’autant d’épisodes de la Bible, depuis la Création jusqu’à la résurrection de Jésus, en passant par l’Arche de Noé, la transformation de la femme de Lot en statue de sel, le sauvetage de Joseph par les Égyptiens, l’Annonciation, la naissance et le baptême de Jésus, la multiplication des pains, la guérison d’un aveugle, la dernière Cène ou encore la crucifixion. Les histoires de Moïse, de Salomon, de Jonas ou de Daniel dans la fosse aux lions sont également au menu. [SDM]

Dans chacun des livres de cette collection, Yo, Laurence et Daphnée racontent à leur manière une « première fois »… Le thème varie, mais les histoires sont toujours rigolotes, comme le joyeux trio !

Germain est admis en classe accélérée, ce qui l’oblige à changer d’école. Ce changement ne lui plaît guère, surtout que la première de classe, Anne-Marie Charlebois, l’énerve. Lors de la remise des bulletins, elle est citée en exemple par la professeur. Et c’est à ce moment que Germain tombe amoureux de son joli visage. Trouvera-t-il la façon d’aborder Anne-Marie?

La jeune guerrière Éli arrive enfin à Ènlira, la ville de son enfance. Cependant, elle n’est pas encore prête à faire la paix avec son père, le comte Roland. Pour le moment, elle a surtout hâte d’arriver aux marais et de compléter sa mission: ramener la pierre de la guerre aux eldéïrs. En arrivant au port de Mortilar, elle tombe en plein carnage. Des monstres (des saladioks) s’attaquent aux habitants. Quelque chose ne va pas, car les saladioks sont habituellement des bêtes très paisibles. La jeune guerrière sait bien qu’il y a de la sorcellerie là-dessous. En effet, le ténébryss lui apparaît et lui révèle ses noirs desseins. Éli refuse de le suivre et se fait attaquer par les sbires du sorcier. Elle en sort grièvement blessée. Entre temps, l’archimage Arkiel et la bande d’Eldérick arrivent sur les lieux. De même que le roi Ferral, bien décidé à protéger son peuple, quitte à s’attaquer aux monstres de marais avec son armée. Mais Éli est persuadée que les habitants des marais n’y sont pour rien dans ces attaques. Elle convainc le roi de rencontrer le chef des Éldéïrs et de pourparler. [SDM]

Suite à un accident, Caroline, la confidente officielle du faubourg, est dans le coma. Elle ne perd rien de son titre puisque, à tour de rôle, chacun va la voir à l’hôpital pour lui ouvrir son coeur. Elle les entend, mais elle ne les voit pas, prisonnière de son corps. Sa soeur Sonia la prie de revenir; ses parents se culpabilisent, se chicanent; son copain J. C. lui révèle ses secrets les plus intimes; son ami Maxime la remercie d’un conseil, etc. Puis une douleur, un déchirement! Caro quitte son corps auquel elle reste attaché par le cordon ombilical. La voilà capable de faire des voyages astraux. Elle profite de ce nouveau don pour venir en aide à Maxime qui est à la recherche de sa mère naturelle. Celle-ci, par le plus grand des hasards, n’est autre que madame Visvikis, la directrice adjointe de la poly. Tous deux se retrouvent enfin, un peu grâce à elle. Après cette bonne action, elle regagne son corps et décide de se sortir elle-même de son problème. Elle se concentre et émerge finalement du coma. Sitôt elle téléphone à J. C. qui court l’embrasser. — Une trame à plusieurs volets. L’auteure bifurque de son sujet principal qui est, de prime abord, l’état comateux, l’impuissance, le combat pour la vie. Elle fait intervenir des faits secondaires: les conflits familiaux, le petit copain athée victime de son éducation religieuse, la fortune mal acquise de madame Visvikis, les voyages astraux, etc. La deuxième partie du livre est consacrée, presque exclusivement, à la directrice adjointe et à Maxime. Le drame de Caro s’efface devant ceux des autres et se règle dans une conclusion rapide. Un roman accrochant à cause des thèmes et de lecture facile à cause du style alerte. [SDM]

La marathonienne fuit l’ombre et les doutes de la nuit; elle s’élance vers la lumière à travers le vent et la solidité du sol qui tambourine sous ses pieds. Chaque matin elle doit accorder son souffle et son coeur au rythme de la vie. Elle sème le trouble le long du paysage et ses mots vaguement inscrits nous révèlent toute la beauté de sa poésie. Ici, les gravures dansent avec le texte.

Par un beau dimanche d’été, Marcel et son chien André s’offrent une petite balade à la campagne. Et, surprise, ils y trouveront l’amour ! Un album magnifiquement illustré d’images à la fois joyeuses et lumineuses.

Album documentaire proposant de découvrir la vie de Marcel Marceau, artiste qui renouvela l’art du mime en s’inspirant à la fois du personnage de Charlie Chaplin et de celui de Pierrot. On y narre, dans un texte simple, accompagné de tendres crayonnés sommairement mis en couleur à l’aquarelle et restituant de manière poétique la réalité de la Deuxième Guerre mondiale, son admiration, dès le plus jeune âge, pour le célèbre Charlot, son caractère jovial, son goût pour la scène et les pitreries, puis son implication dans le mouvement de Résistance, tandis que ses proches subissaient les affres du régime nazi. On mentionne ensuite sa formation au conservatoire de Dullin à Paris, puis la naissance de son émouvant personnage Bip dont on a reproduit quelques photographies en fin d’album. [SDM]